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Trouver la cause commune à de nombreux problèmes !
Bonjour,
Voici la première des 4 vidéos que je vous ai annoncées. Je vous ai également envoyé un mail qui vous redonne l’accès à cette page.
Les 3 autres vous seront envoyées par mail dans les jours qui viennent. Pensez à vérifier votre boite spams si vous ne recevez rien. Bonne visualisation.
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Merci de vos bons conseils. Je comprends que la mort est l’autre côté de la vie… je suis très à l’écoute des amis et parents. Je partage, conseille, et vais au devant des plus démunis. Installée en Afrique, où la mort n’est pas perçue comme en Occident me conforte dans ma spiritualité, un cocktail à ma façon qui n’est propre qu’à moi. Un mélange que j’essaie de partager avec certains… Ma retraite m’a donné une certaine liberté et ma foi, je me dis que mourir c’est un beau moment, puisque la tâche terrestre est terminée. je pense que je retrouverai tous ceux -et ils sont nombreux, qui m’ont quittée.
Tout le meilleur pour l’excellent travail que vous faîtes.
Merci beaucoup.
Rachelle
Bonjour Rachelle, et merci de nous partager votre cheminement intérieur, lorsque vous pensez au moment de votre départ.
Je pense que c’est très précieux d’entendre les « anciens » évoquer le cheminement qu’ils font par rapport à leur propre fin de vie, car elle arrivera un jour ou un autre pour chacun de nous. C’est un enseignement précieux que vous offrez pour ceux que vous coutoyez. Et peu de personnes peuvent le faire, ou pensent à le faire… peut être aussi parce que bien des personnes sont bien inquiètes à l’idée de ce passage.
Je vous souhaite en tous cas, lorsque ce sera le moment, de vivre ce passage de la façon la plus joyeuse possible, et entourée par de l’affection et de la douceur.
Et j’en profite pour apporter mon vécu, dans l’accompagnement de personnes en fin de vie : on ne fait pas le passage tout seul, il y a des présences subtiles qui nous aident à changer de fréquence, et nous reconnecter de plus en plus à la lumière dans laquelle nous allons retourner. Ce sont en général, nos guides, et des êtres chers qui sont déjà de l’autre côté. Ils sont de plus en plus présents et perceptibles pour ceux qui arrivent à capter leur présence. On ne fait jamais le passage seul… on est vraiment accompagnés par une grande présence d’Amour.
Bonjour,
Merci pour vos conseils. En effet depuis ma naissance la mort est mon compagnon, j ‘ai à ce jour 40 persnnes très proches , mari, parents et amis qui sont de l’autre côté et ces 14 mois passés, 9 amis sont partis, ceci m’affecte bcp. malgré dêtre thérapeute, mes émotions y sont. Et j’avoue j’encaisse et j’ai diffiçile à surmonter, étant bouddhiste celà m’est d’une aide très précieuse et j’accepte et je m’autorise à traverser les étapes.
Je serai contente d ‘acouter vos autres videos;
Merci
D P
Bonjour D.P, et merci d’oser partager vos difficultés.
Vous avez en effet beaucoup de proches qui sont partis, et je comprends que c’est éprouvant. Votre démarche bouddhiste est une belle aide au niveau intellectuel, et peut être aussi de façon intérieure. Mais il existe des outils pour aller rencontrer les souffrances que vous ressentez, et les modifier vers du mieux être. Pour vous faire parvenir les vidéos suivantes, je vous ai intégrée dans une liste des personnes qui me suivent. Vous serez sans doutes amenée à recevoir à nouveau la première vidéo dans le processus d’envoi… mais à condition que vous acceptiez mon adresse mail qui va être benedicte@ecoute-subtile.com, sinon mes messages seront dans votre boite indésirables.
Bonne suite à vous. Bénédicte
Bonsoir et merci pour ce partage.
J’ai peur de quoi ? de la souffrance de fin de vie sans doute (il y a eu des progrès c’est sûr, mais les fins de vie sont encore souvent très douloureuses, il y a pas mal de tâtonnements avant de trouver le bon traitement, et la morphine est donnée assez tardivement, car cela accélère le processus),
d’une dégradation possible, avec perte d’autonomie en perspective, encore plus…
mais surtout pour l’instant peur de laisser mon fils aîné qui a une maladie mentale. Il vit seul dans son appartement (tout près de chez moi) mais je suis, avec mon compagnon, quasiment le seul contact qu’il ait, et je n’ose imaginer son désarroi s’il m’arrivait quelque chose (il a déjà beaucoup souffert du décès de ses grands parents).
Il y a sans doute aussi d’autres difficultés dans mon existence qui sont liées à la peur de la mort, c’est une prise de conscience que j’ai eue en écoutant votre conférence (dans le cadre du sommet) et en faisant l’exercice que vous avez guidé, mais cela reste pour l’instant assez flou.
En tout cas votre conférence m’a donné envie de creuser ce sujet, merci encore…
Bonjour Maryse, et merci pour votre témoignage.
Ce qui est intéressant, c’est de prendre le sujet en considération, et de se poser des questions, comme vous l’avez fait. Car si on ne fait rien, rien ne change.
Et en mettant une démarche en route, nécessairement, les questions inconscientes, les interrogations vont se révéler, et des modifications vont en découler.
Vous identifiez des éléments, pour lesquels il n’y a pas toujours des solutions extérieures, mais plutôt intérieures, à propos de la souffrance physique, et des pertes d’autonomie… et j’en parlerai plus dans la suite des vidéos..
Mais à propos de votre fils qui est seul, il me semble que vous pouvez mettre en place des pistes de solutions pratiques… lui faire rencontrer des personnes qu’il pourrait apprendre à connaître, à apprivoiser… peut être des bénévoles… vous rapprocher d’une structure de soutien aux personnes avec maladies mentales… chercher s’il n’y aurait pas des lieux de loisirs pour lui, dans des espaces de soutien… Si sa vie affective n’est nourrie que par 3 ou 4 personnes, il sera nécessairement perdu si l’une d’entre elles n’est plus là. Bon, mais ma réflexion n’est que théorique… vous avez sans doutes des éléments en main que je ne connais pas.
Bonjour Madame, et merci,
J’ai le sentiment que ma peur de la souffrance (surtout physique) est pire que ma peur de la mort. La mort, oui, à condition que je ne souffre pas (les autres non plus) dans la mort (purgatoire par exemple, ou alors avec des souffrances allégées) (bien que très croyante, le pire et totalement inconcevable et inacceptable pour moi est l’enfer ; comment peut-on vivre dans l’Amour et la Béatitude absolues, éternellement, au « Paradis », en sachant qu’il y a un enfer à côté ?).
J’ai perdu un bébé à la naissance, il y a environ dix ans (un décès/naissance un peu prématuré(e)), qui aurait eu de très très gros problèmes de santé et mentaux (très vraisemblablement inguérissables) s’il avait vécu ; il aurait souffert le martyre si l’on s’était acharné à tenter de le maintenir en vie par tous les moyens, et il serait très vraisemblablement décédé rapidement ; j’ai été soulagée de son décès, bien qu’immensément triste, et j’ai préféré et je préfère encore l’imaginer en paix, heureux et sans souffrances « là-haut » que cobaye en souffrance sur cette terre.
Mais ma peur de la souffrance est bien antérieure à la perte de mon bébé.
J’ai très peur de souffrir, pire que tout la souffrance causée par d’autres ou des évènements extérieurs. J’ai plus peur de la souffrance que de la mort (qui pour moi, sommes toutes, serait une forme de libération (à condition d’être certaine que l’on ne souffre pas au-delà ou très peu et sur très court laps de temps)). J’ai très peur de la vitesse et des pentes (de peur de ne plus rien maîtriser et de finir par me faire – très – mal). Je limite le plus possibles les prises de risques. Je m’énerve trop souvent et trop vite avec mon enfant, je voudrais trop que tout aille vite et très bien sur tous les plans (de peur qu’il ne réussisse pas tout, en tout, et qu’il en souffre quelque part ?)… Je procrastine et me sens « mal-capable » ou incapable de beaucoup de choses, j’ai l’impression de ne jamais savoir comment m’y prendre pour être efficace… Mes peurs, blocages et énervements me mettent en colère et nuisent à ma relation avec mon enfant entre autres… Dans mes questionnements tout ou beaucoup de choses me mènent à la peur de la souffrance…
Bonjour Christine,
Merci pour votre partage, qui pourrait bien résonner avec d’autres personnes.
J’ai fait une petite enquête récemment auprès des personnes qui me suivent depuis un moment, et c’est cette même peur de la souffrance qui est ressortie comme la première inquiétude, alors vous voyez que c’est une préoccupation importante.
Pourtant, lorsque l’on côtoie des médecins, qui accompagnent les personnes en fin de vie, ils disent que les approches et les solutions pour aider à calmer les souffrances et les douleurs sont maintenant bien plus efficaces, et bien mieux gérées. Ce n’est plus pour eux la difficulté principale que rencontrent leurs patients. Alors, je vous invite à essayer d’accueillir cette idée en vous. Nous devons avoir enregistré des souvenirs de douleurs portés pendant des générations de souvenirs désagréables. Mais il y a surement des progrès qui ont été faits dans ce domaine.
Il y a aussi les unités de soins palliatifs qui ont été créées depuis quelques années, qui ont pris du temps pour mieux aider les personnes en fin de vie. Et en fait, pour eux, la plus grande souffrance des personnes est souvent plus psychologique que physique, et c’est sur ce point là qu’ils se penchent maintenant, pour apporter du confort aux personnes qu’ils accompagnent tous les jours.
Par contre, j’entends bien que pour vous, c’est la peur de la souffrance qui est la plus importante, et en face de cette réalité, vous pourriez chercher de l’aide, auprès de thérapeutes, pour arriver à faire diminuer cette peur. Il existe des approches pour faire baisser ce genre de malaises.
Après, pour ce qui est de l’enfer !, il s’agit d’une croyance que je ne partage pas… et que les personnes qui ont fait des expériences de mort imminente ne mentionnent quasiment jamais !!! Je pourrais juste vous inviter à envisager qu’il n’y aurait pas d’enfer… et voir ce que cela apporterait comme modifications dans votre vie ?
Un grand merci Madame.