Oui, pourquoi développer ses perceptions subtiles ?
C’est une question que l’on peut raisonnablement se poser. Car bon nombre de nos contemporains ne sont pas des personnes qui sont très sensibles aux mondes subtils.
Je vais vous raconter le début de mon chemin, lorsque j’ai pris conscience de la présence de ce monde qui nous entoure de façon plutôt discrète, mais bien active.
C’est au cours d’un stage de géobiologie que j’ai fait mes premières découvertes intéressantes. Ça se passait en 1987, donc pas hier ! Dans le programme de ce stage, j’étais intriguée par les promesses du contenu qui nous annonçait que l’on allait apprendre à trouver des sources d’eau souterraine, des réseaux qui sont en lien ou non avec la vie, et comprendre des tas de choses qui expliquent par exemple pourquoi un arbre est en pleine forme, alors que son voisin est tordu… et je n’ai pas été déçue.
Pour moi qui ai toujours aimé comprendre comment fonctionnent les choses et les gens, j’ai compris pendant ce stage là que bon nombre d’éléments qui dirigent la vie ne nous sont pas accessibles par nos sens habituels, ou du moins pas de la façon dont on en parle le plus souvent.
On nous a appris que des réseaux quadrillent la terre, un peu en suivant les lignes de champs de magnétisme qui vont du pôle nord au pôle sud… et puis, ces lignes de champs peuvent se rejoindre, et composent des quadrillages dont les croisements se trouvent à être positifs ou négatifs pour la vie de façon alternative, soit 50% favorables à la vie des plantes, des animaux, ou des humains, et 50 % porteurs de l’inverse…
Puis, nous avons aussi mis le doigt sur les réseaux d’eau souterrains, qui fabriquent des champs électriques et magnétiques du fait des molécules d’eau qui se frottent entre elles… et ces réseaux d’eau souterrains, associés aux croisements des grilles précédentes amplifient encore les effets ressentis sur certaines zones…
Et puis, nous avons appris la présence d’autres zones bizarres, appelées des vortex, que l’on trouve plutôt dans de lieux de ressourcement, comme des églises particulières, ou des zones naturelles fortes… et nous avons aussi appris à les utiliser pour notre bien être… et bien d’autres « choses subtiles » encore
Et puis au cours de nombreux exercices pratiques, j’ai pu me rendre compte que toute la nature est régie par ces différents éléments… Nous avons toujours validé le fait qu’un arbre tordu était positionné sur une zone perturbée…. par au moins un des éléments que je viens de citer… quand dans une haie, si un seul arbuste n’est pas en forme, il y a toujours une « raison subtile énergétique » pour expliquer ce que les jardiniers ne comprennent pas toujours..
Que les vaches qui sont des animaux polarisés de la même façon que les humains ne se couchaient jamais sur des zones perturbées, que les chats eux, fonctionnent à l’inverse de nous… mais qu’ils peuvent nous soigner par leur présence du fait qu’ils peuvent nous décharger de charges négatives pour nous, mais bénéfiques pour eux…
Que les fourmilières sont toujours installées sur des zones très perturbées
Que les églises sont des lieux qui ont été construits pour soigner les gens qui entrent dedans… lorsqu’elles n’ont pas été abimées par des travaux trop invasifs…
et donc, tous ces éléments subtils qui agissent sur la nature, les végétaux, et les animaux agissent aussi sur les humains.
Alors, le problème c’est que les humains, contrairement aux animaux, ont perdu leur capacité à ressentir ces éléments, actifs sur leur bien être ou leur mal être… du moins de façon consciente.
Alors que notre corps, lui, est capable de tout percevoir. C’est d’ailleurs ce qu’il peut exprimer dans l’utilisation d’un pendule… car notre corps est sujet à des éléments subtils, et les transmet au pendule par l’intermédiaire de nos muscles.
C’est donc ce stage, qui a été pour moi le premier révélateur de l’action des mondes subtils sur nous et notre environnement. Il a représenté le premier pas que j’ai accompli sur le chemin de l’écoute subtile… et j’ai parcouru un bon bout de route depuis !
Actuellement, quelques 30 ans plus tard, les chercheurs les plus avancés en physique quantique nous expliquent, que le vide qui nous entoure est plus dense que la matière… et que ce vide serait plein d’informations de toutes sortes… des informations « subtiles » bien sûr, car elles ne sont pas perceptibles par nos sens ordinaires… mais toutes ces informations pourraient quand même être utiles d’une façon ou d’une autre… à condition de savoir les capter, et les décoder…
Je vous met le lien sur une vidéo Youtube de Nassim Haramein, qui est probablement l’un de physiciens les plus avancés sur ce sujet. C’est très intéressant !